Mardi 16 octobre
2
16
/10
/Oct
12:45
Dès le départ, l'organisation fut plus compliquée qu'avec Didier. En effet, ce soumis ne dispose que d'un mince crêneau de temps, et le résultat était: un timing ultra serré, et une fatigue en
conséquence.
Après avoir organisé ce stage au mieux, (pour lui surtout), je n'étais pas très contente de ce qui allait être le déroulement de celui-ci. Je devais prendre le tgv, puis le retrouver à la sortie
de la gare, ensuite 3 heures de voiture pour arriver chez mon amie. Je devais hausser le ton pour prendre le temps d'au moins manger un morceau, en catastrophe bien sur, ce que je n'apprécie
guère.
Nous arrivions dans les temps (20h15 en étant partie de Paris à 14H!!) chez mon amie. Elle nous attendait dans le salon, et nous offrait une petite coupe afin de se poser un instant. Puis les
festivités commencaient. Le soumis, après s'être deshabillé, fut amené dans une des salles équipées, allongé, attaché solidement sur le ventre, et la flagellation débutait. Il fut ensuite
retourné, et là, ce furent les seins et le sexe qui eurent droit à divers sévices. Certains moments, il restait avec les contraintes en action, seul, dans le noir, ne sachant ce qu'il allait se
passer, puis nous revenions en nous amusant à allumer une forte lumière située au dessus de lui. Les contraintes s'enchainaient, avec des temps de pause, qui pour lui n'en étaient pas, car il
devait toujours garder sur lui quelques objets bien placés. Pendant les pauses, mon amie et moi descendions dans le salon, afin de reprendre une petite coupe et bavarder tranquillement.
Puis direction le chevalet, où ses fesses firent connaissance de divers instruments. Là, nous le guidions vers une autre salle, médicale cette fois, Les jambes dans les étriers, le corps dans des
liens de cuir tous les 20 centimètres, nous commencions une dilatation, tout en ajoutant des sévices divers sur les seins et le sexe. Electrostimulation, pinces, mors dans la bouche, cagoule
serrée, gode vibrant, et hop, recouvert d'un drap en cuir extinction des feux.
Retour un peu plus tard, le retrouvant bien sur sans qu'il ait pu bouger une oreille!!
Un certain nombre d'outils furent expérimentés sur sa personne, car avec lui, que je surnomme monsieur plus, il en faut toujours...... plus!!
Il fit un détour par le boudoir, et là fur immobilisé avec des moufles cuir, une barre d'écartement, des chaines allant du sexe au cou.
Puis, direction la prison.
Allongé sur un vague lit de camp, ayant gardé toutes ses contraintes, il fut recouvert de couvertures et laissé planté là, dans l'obscurité la plus complète.
Nous y retournâmes 30 minutes plus tard, allumant d'un coup une lumière digne d'un interrogatoire musclé.
Encore quelques punitions, et là, abandonné à son sort.
IL était dans le noir complet, sans aucun bruit à part quelques gouttes d'eau qui tombaient régulièrement quelque part...
Comme à cause de son absurde timing, nous ne pouvions aller nous reposer à l'hôtel, mon amie m'avait préparé un bon lit dans le boudoir, pour peu de temps hélas car je devais libérer le soumis
à ......4heures!! Vu que la séance avait duré jusque minuit 30, bonjour le repos. A 4 h , je descendais donc à la prison, j'avais au moins la joie (petite vengeance) de mettre la
lumière à fond pour le réveiller, et ensuite de l'entendre geindre qu'il n'avait presque pas dormi, car le bruit de l'eau, l'angoisse blablabla!!!!
Direction la frontière, car bien sur le retour fut comme l'aller, compliqué!! Donc 2h30 de voiture, et 4 de train!!! Je dois dire que plus jamais ce genre de galère ne sera accepté. Je veux bien
faire certains efforts, mais là, non merci.
Enfin, mon amie a apprécié la séance et le soumis, dommage que le reste ait été si chia... pour moi.
http://www.mistress-altea.com
