Ce n'est pas la première fois que je relate ici les scenarii demandés par mes soumis. Certains sont récurents, d'autres sortent du lot comme celui-ci: ce soumis est le patron d'une entreprise, je suis sa secrétaire, il me convoque dans son bureau, afin de me faire comprendre que mon poste ne restera le mien que si j'accède à certains de ses "désirs"....Mais les choses ne vont pas tourner comme lui l'a prévu!!! Nous commencons; il me reçoit, habillé, me parle de mes résultats, que je lui doit beaucoup pour mon job, je me défend en argumentant mes qualités professionnelles, lui rétorque que néammoins je lui suis redevable, je fais mine de ne pas comprendre, il insiste, je suis outrée, il fait du chantage, je fais semblant de me plier à sa demande. Je m'allonge sur le tapis, lui demandant de me rejoindre, mais de d'abord se deshabiller. "Vous comprenez vite ma petite", c'est lui qui va comprendre. A peine est-il allongé près de moi, que je lui fais une prise au cou avec mes cuisses, serrant de plus en plus fort. Il essaie bien sur de se défaire, mais n'y arrive pas. Il m'ordonne ( 'hé,hé), de le laisser partir, mais pas question. Non contente de l'avoir immobilisé, je lui fais savoir que j'avais pris la précaution de brancher la webcam de l'ordinateur, et que la scène est enregistrée. Ce sont les collègues qui vont être ravis en regardant ce qui se passe. Sauf.....bien sur, si dorénavant, il devient mon esclave. Pas question me répond-il, laissez-moi partir, ceci dit sur un ton pour le moins péremptoire. Je lui fais remarquer ironiquement qu'il n'est pas trop en position de discuter, et que de surcroît, la porte de son bureau est entrebaillée, quiconque sortant de la salle de réunion pourrait admirer le tableau. Je lui attrape les testicules dans la main, et les tord violemment, alors que je défait ma prise au cou. Je la remplace illico par une autre, qu'il est tout autant dans l'impossibilité de casser. C'est moi maintenant qui ai le dessus, lui n'est plus qu'une larve rampante par terre, c'est le retour du baton, il a voulu abuser lachement de sa secrétaire, mais c'est elle in fine qui a le dernier mot. Il devra ensuite se masturber devant moi, tenu en laisse par les testicules, le tout sous mes commentaires ironiques quant au retournement de situation. Voilà un scenario amusant, où tel est pris qui croyait prendre!!!!

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Je suis toujours curieuse de savoir comment un soumis qui vient me voir m'a connue. Soit par mon site, ce qui est le plus habituel, soit par le blog, soit par une annonce web, etc... Mais lorsque ce soumis est arrivé, je n'ai pas eu besoin de lui demander. Il a de suite précisé que c'est quelqu'un qui lui avait parlé de moi. Ce qui est assez inhabituel, car c'est un domaine très privé que la plupart du temps les soumis gardent pour eux. Il est rare qu'ils en parlent, même avec leurs amis proches. Là, non. Il m'a expllqué très à l'aise qu'un de ses amis était venu me voir, qu'il avait beaucoup apprécié la séance, et qu'il lui avait confié ses impressions. Il est vrai qu'avoir des fantasmes communs avec ses amis permet ce genre de confidence. Celà me laisse aussi penser que petit à petit les gens sont plus à l'aise pour parler de ce qu'ils aiment. De fait, il est venu totalement en confiance, et la séance n'a pu que s'en porter mieux. Il n'a pas eu de gêne pour m'expliquer ce qu'il apprécie, le fétichisme des pieds, la cire, la sodomie et l'étouffement. Je dois préciser un petit détail, mais qui est peut ètre significatif, il est jeune, 21 ans, ce qui explique en partie la liberté qui existe avec ses amis. Depuis quelque temps, j'ai comme çà des surprises sur les soumis que je vois. J'en reçois de plus en plus souvent de jeunes, moins de 30 ans, et plus étonnant venant de milieux et d'origines très divers, et j'en suis assez surprise mais au demeurant très contente. Celà augure en effet un futur bien agréable!! Jusqu'à peu de temps, le soumis avait l'image d'Epinal de: catégorie socio-professionnelle plutôt élevée, age 35 et plus, le changement s'opère assez vite, peut-être du fait d'internet et c'est tant mieux. Alors, parlez de moi, vos amis seront particulièrement bien accueillis....

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D'aucuns ont une imagination sans limite dans le détournement des objets du quotidien. Ainsi, Roland, que je connais depuis de nombreuses années, est passé maitre en la matière. Il arrive avec sa valise, et... sa chaise. J'ai beau, depuis le temps, lui dire que moi aussi je dispose de chaises et autres tabourets, non, il déménage la sienne. Dans la valise, rien que des objets pour le moins anecdotiques: brosse pour les cheveux à poils durs, piques-apéro, roulette à pizza, minuteur de four, bouchon de carafe en verre, éponge grattante pour la vaiselle, bougie, allumettes, vaporisateur de poche, et j'en passe. Mais tout ceci a une utilité bien précise dans le scenario de Roland, et chaque objet est utilisé bien loin de sa destination initiale. Je commence par tirer trois enveloppes, partie , 2 et conclusion, telle une dissertation. L'ensemble du corps doit être puni, le sexe, l'anus, les seins. . Ainsi, pour l'anus, j'utilise la brosse à cheveux, enfoncée sans ménagement et dont les poils durs raclent bien l'intérieur. Les instruments piquants viennent se rajouter, ainsi que le vaporisateur d'alcool, les allumettes et la bougie. Pour les seins, ce sont les pinces à linge, la bougie, la roulette à pizzza, pour le sexe, j'ajoute l"éponge grattante à tout le reste. Le tout sur fond du tic-tac du minuteur de four. C'est à se demander in fine si un donjon équipé est nécéssaire avec un soumis comme lui!!! Bien que je le connaisse depuis longtemps, je dois malgré tout prendre connaissance des trois lettres choisies, ce qui, je dois le dire, me pompe l'air copieusement, il le sait d'ailleurs. Mais bon, celà fait partie de ses fantasmes, m'abreuver d'une prose dont je pourrais allègrement me passer. Il faut lui laisser la palme du détournement d'objets usuels, le dernier en date étant une petite brosse à chaussures qu'il a au demeurant égaré, ce qui le navre au plus haut point. Enfin, on est peu de chose!!!!

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