Lui ne désire qu'une seule chose, la flagellation dans sur le dos. Pour moi, c'est agréable, ça défoule. Je lui fais tester plusieurs martinets avec de longues lanières, mais avec des impacts différents. Il en choisi deux, un très long et léger, un autre un peu plus court mais plus lourd. Au fur et à mesure de la séance, les lanières font de longues marques de haut en bas du dos. Je l'ai attaché en extension, les mains vers le plafond, avec le palan, et les jambes bien écartées avec une large barre. Ainsi, il ne peut se dérober à mon martinet. Petit à petit, les traces se rejoignent et son dos devient uniformément rouge, un peu gonflé. Nous avons convenu d'un code, et je n'arrêterai de frapper que lorsqu'il le prononcera. Chaque série comporte 20 coups. Je sens qu'il s'apprête à prononcer ce code vers la fin des séries, aussi, je marque un temps d'arrêt assez long pour qu'il puisse récupérer et ainsi, je peux recommencer une autre série. Je tiens à ce que cette flagellation dure jusqu'à ce qu'il ne puisse vraiment plus supporter. Pendant près d'une heure, son dos aura reçu des centaines de coups de martinet, en alternance avec mes mains qui viennent atténuer la brûlure des lanières. Mono-pratique, mais résistant!!

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Il faut parfois se creuser la tête, ainsi, il aime être travesti, petite fessée, sodomie, essayer l'uro qu'il n'a jamais pratiqué, le tout avec un scémario, mais il n'a aucune idée de ce que peut être le scénario en question. Il faut pourtant que celui-ci soit en rapport avec les pratiques, afin que le tout soit harmonieux. Il sera donc une petite pute en stage, qui doit apprendre à s'habiller, se préparer, prendre les bonnes positions, et accepter la sodomie bien qu'étant novice en la matière. Tout d'abord un corset bien serré, un string en dentelle, des bas, une perruque et le voilà déjà transformé. Quelques petites fessées ponctuées de directives précises, et je commence la sodomie. Hola, il va y avoir du travail car ses fesses sont toutes neuves. Je le dilate progressivement, en continuant à lui distiller mes ordres: tu devras toujours être présentable, anus rasé, lavement fait, en position quatre pattes et surtout bien cambrée. Une fessée arrive dès que sa réponse se fait attendre.  "Je ne veux pas avoir de reproches te concernant, alors attention, sinon les punitions vont pleuvoir". Assez rapidement, il a bien imprimé la position que je lui demande, mais en ce qui concerne la sodomie, ce n'est pas encore çà. Il aura intérêt à être dans de meilleures dispositions, sinon il risque de le sentir passer.... A la fin, je l'arrose copieusement pendant la séquence uro, ce qui lui donne envie d'uriner lui aussi. Libre à toi de te faire pipi dessus, et maintenant tu vas mariner la-dedans jusqu'à la jouissance. Qui d'ailleurs n'aura lieu que lorsque je te le dirai, à la seconde près. J'égrenne les secondes de manière très irrégulière, il ose à peine se toucher de peur de ne pas jouir au bon moment. Lorsque je lache enfin "maintenant", il jouit de suite. Bon, pas mal, mais doit mieux faire pour la sodo.

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Lundi dernier, mon soumis C. était très déçu et un peu en colère. Ma soumise qui devait venir pour qu'il la punisse, avant que je ne m'occupe de lui n'avait pas pu se libérer de son travail. Certe, ce n'était pas sa faute, mais C. s'était fait son petit film dans sa tête, et du coup, il était resté sur sa faim. Aussi aujourd'hui, il l'a de suite prévenue qu'il serait plus sévère que d'ordinaire. Durant plus d'une demi-heure, elle a subit divers martinets, fouets, pinces, suspensions, bondage, humiliations et autres gâteries. Il s'est bien défoulé, afin de gommer son manque de lundi. Je l'ai retrouvée fesses en l'air, entortillée dans une corde qui lui passait entre les jambes, tête basse, et rougie de partout. Heureusement, ensuite, j'ai donné à ma soumise la possibilité de se venger. Et elle ne l'a pas épargné non plus.  Ainsi, elle a reproduit ce qu'il venait de lui faire subir, en le mettant dans une position de foetus tout replié sur le dos. Les fesses ainsi que ses seins étaient accessibles, et elle ne s'est pas privée de s'en occuper. Elle commentait à chaque fois " tu m'as fait ça hein??". Et lui ne trouvait rien de mieux que de continuer à la provoquer " la prochaine fois, je te flagellerai encore plus". Il s'est moqué d'elle lorsqu'elle lui a serré les seins entre ses doigts, et là, je suis venue à sa rescousse. Mes ongles longs font beaucoup plus de dégats que les doigts de ma soumise, et de suite il s'est tût. Il a fini par jouir, alors qu'elle continuait à lui torturer les seins, et que je le frappais à la badine dans la raie des fesses. Il a mit un certain temps à récupérer, et je pense que ma soumise a vraiment pris aujourd'hui, car de lui-même, il a reconnut avoir été beaucoup plus fort que d'habitude. Mais elle et moi aussi, alors match nul!

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