Début Juin, une amie dominatrice d'un pays limitrophe organise tous les ans une journée à son nom. Les portes sont ouvertes à partir de 15 heures jusque...........................Cette année, j'ai pu répondre positivement à son invitation, et de ce fait, j'ai vite trouvé un soumis souhaitant m'y accompagner. Ce fut donc Bernard. Le départ se fit très tôt, il est venu me chercher chez moi à 7 heures, puis TGV pendant 4 heures. Même durant le trajet, il devait être à ma disposition, allant me chercher le petit déjeuner au bar, surveillant mon sac. Il faut dire que ce soumis est hélas mono-tâche. Il faut entendre par là qu'étant extrêmement maladroit, on ne peut lui demander beaucoup de choses. Il compense en étant très attentionné. Nous avons ensuite changé de train, et je devais le surveiller afin que même à deux mètres de moi il ne se perde pas. Halte à l'hôtel, puis restaurant. Il ml'a questionné plusieurs fois sur le déroulement de la journée, mais je ne lui ai pas répondu, car moi-même, je ne savais pas exactement quel allait être le programme des festivités. Retour à l'hôtel afin de prendre le necessaire, puis taxi jusque chez mon amie. Un long escalier en pierre nous emmène à sa maison, bien enfouie dans la végétation, et disposant d'un vaste jardin protégé. En arrivant, elle nous indique une chambre afin que nous puissions nous changer, mon soumis ayant opté sur mes conseils pour une tenue en vynil, facile à ouvrir en cas de besoin et surtout de forte chaleur. Il faisait très beau, et de ce fait, nous avons rejoint mon amie dans le jardin. S'y trouvaient déjà deux soumis, une dominatrice, et une "apprentie" maîtresse. Un des soumis se retrouva en bondage sur une chaise longue, sur le ventre, complètement en combinaison vynil, cagoule et baillon. Un autre pendant ce temps était attaché les mains levées dans une remise attenante à la terrasse où nous prenions un verre. Sur la chaise longue, l'esclave dut subir des chatouilles sur la plante de ses pieds nus, et du martinet. L'autre, des pinces sur les seins, de la fessée, de la raquette électrique, des poids et autres flagellation. Arrivait un autre soumis qui fut transformé en toutout docile. Collier, laisse, cagoule, il fit la tournée de nos pieds afin d'embrasser nos talons. Il se mit ensuite sur les genoux, afin de recevoir de petites tapes sur le dos, laisse bien en main de la maîtresse, afin qu'il ne bouge pas. Le soumis sur la chaise avait fini par jouir à force de se trémousser comme un ver. Il fut libéré, et il vint nous rejoindre autour de la table.
Celui attaché le restait. Mon soumis, à la demande de mon amie, a essayé de nous apporter un plateau avec les coupes, mais le résultat était trop incertain. Elle lui fit donc cueillir des orties, baisser son pantalon et s'en faire une couche incluant le sexe et jusqu'aux fesses. Là, j'avais un sourire en coin, car je savais qu'il ne soufflerait pas un mot, et ne ferait rien paraître. Celà eut son petit succès!! Un couple arrivait, elle étant soumise. Elle a du, comme les autres, nous embrasser les talons, et mon amie lui ordonna également de soulever devant chaque invité sa robe courte afin de nous montrer son intimité. Elle était très intimidée par cette assemblée, ceci étant la première fois pour elle.

Mon soumis fut mis à contribution afin de faire quelques courses, qu'il a effectué en gardant ses orties au chaud.

Un autre couple arrivait, deux dominants cette fois. Un ballet d'allées et venues s'est instauré, entre le jardin, les salles de torture et autres cachots, et l'heure de l'apéritif est arrivée.  Un nouveau soumis est arrivé afin de préparer le buffet, et tous eurent leur rôle à jouer dans l'organisation.

Une des dominatrice proposa d'organiser des jeux, et je proposais un concours de cravache. Quatre étaient partant. Mon soumis était bien sur inscrit d'office, la soumise, et deux autres esclaves. Je commencais avec 30 coups à chacun, de la même intensité car pas de triche ni de favoritisme pour la soumise. Les deux autres maîtresse prenaient le relais. Au troisième tour, l'un des soumis déclarat forfait. Puis un autre, puis la soumise. Ne restaient que Bernard, et un jeune esclave. J'avais soufflé à mon soumis qu'il lui était interdit de perdre. Sous les yeux des spectateurs, il fut déclaré gagnant et il eut droit de boire une coupe avec nous. Tout ceci se poursuivit tard, Bernard et moi partions de là vers minuit. Une bonne journée pour nous deux, même si je pense, il aurait apprécié encore plus si il avait pu être plus "utilisé". C'est là que sa maladresse lui pose problème, car de ce fait, il ne peut pas servir dans nombre de circonstances.

Le 12 août, mon soumis Didier vient avec moi là-bas. Mais.......................pour une loooooooooongue session. Mon amie et moi (et peut être d'autres!!) nous occuperons de sa petite personne, et il n'aura pas vraiment de répis. Je n'ai plus qu'à espérer que le temps soit clément afin que nous puissions encore profiter du jardin et joindre l'utile à l'agréable!!!!!!!!

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