Comme je vous l'ai déjà expliqué, j'apprécie beaucoup les soumis anglo-saxons, car ils sont toujours très bien éduqués.  Celui de ce jour ne fait pas exception à la règle. Il vient de New-York, où il pratique régulièrement son fantasme. Celui-ci est pour le moins extrèmement précis: torture des seins, uniquement avec les doigts, pendant ce temps il se masturbe sans avoir le droit de jouir, et il doit en même temps sucer mon gode-ceinture. Uniquement celà. Au moins, on ne peut pas dire qu'il ne sait pas ce qu'il recherche! Je commence par le faire mettre sur les genoux, ainsi il est la bonne hauteur pour que je lui attrape les seins sans que j'ai besoin de me baisser, et lui à la bonne hauteur pour attraper mon gode-ceinture dans la bouche. Il a les seins très développés par une pratique qui doit être récurente, de ce fait, c'est beaucoup plus facile pour faire une torture intéressante. J'y vais de manière progressive, car toute la séance va porter la-dessus, et je tiens à ce qu'il puisse tenir longtemps. Si, dès le départ, je commence à serrer très fort et enfoncer mes ongles, la séance s'achèvera vite. Je veux qu'il ait un bon souvenir d'une maîtresse française..... Uniquement avec les doigts, je le pince, de plus en plus fort, puis je tire sur la pointe de ses seins, je les fait rouler entre mes phalanges en serrant, et enfin je lâche afin de les caresser un moment. Pendant ce temps, il se masturbe comme un fou, tout en sucant et léchant mon gode-ceinture. Je n'ai pas lésiné sur la taille de ce dernier, et il doit ouvrir grande la bouche afin de pouvoir l'engloutir. Je recommence à lui torturer les seins, en y ajoutant cette fois mes ongles. Je les enfonce progressivement, tout en tirant légèrement. Puis, je les enfonce de plus en plus fort, ce qui a pour effet qu'il me demande de bien les punir. J(ai beaucoup de force dans les mains et les doigts, et c'est avec joie que je répond immédiatement à sa demande. Mes ongles se touchent presque à travers les pointes de ses seins, et je tire très fort, tout en faisant rouler mes ongles l'un sur l'autre. Je renouvelle celà à plusieurs reprises, de telle façon que ses seins deviennent tellement sensibles, que le simple fait de passer les mains dessus le fait bondir. Je répète encore l'opération, et il se met à jouir sans même avoir eu le temps de me prévenir. Il ne pouvait plus, me dit-il se retenir. Je pense que sa poitrine va être douloureuses un temps certain, ainsi il se souviendra de moi!

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Lui a toujours su m'exprimer ce dont il avait envie, et au fil du temps, il arrive à cerner de mieux en mieux ce qui lui correspond. Ainsi, il a tendance depuis quelques séances à désirer aller plus loin dans la sodomie, et cette fois ci, il me parle d'étranglement. Il a envie d'essayer cette pratique en même temps que d'autres sévices ou sodomie. Je lui noue un foulard autour du cou, et le mettant à quatre pattes, je commence à le flageller. Régulièrement, je viens debout devant sa tête, ainsi, je peux attraper le foulard et serrer tout en continuant à lui donner du martinet. Je me rend compte qu'en effet l'étranglement ne le laisse pas indifférent. C'est bien sur une pratique qu'il faut manier avec précaution, mais que de nombreux soumis apprécient. Je commence la sodomie, tout en tenant les extrémités du foulard, et je tire dessus, en même temps que j'enfonce mon gode en lui. Ensuite, j'ai envie de tenter quelque chose: il est réactif à l'étranglement, aussi, je le fais allonger sur le dos, passe mes jambes autour de son cou, et commence à serrer. Il comprend vite le but du jeu, et essaie de se libérer. Mais la position doit vraiment lui plaire, car il ne fait pas de gros efforts pour retrouver sa liberté...Je lui fais plusieurs prises différentes, toutes axées sur l"étranglement, avant qu'il ne jouisse. Lors du petit debriefing, il me confirme avoir en effet beaucoup apprécié ces petits extras non prévus, qu'il n'avait jamais tenté. Celà lui permettra pour la fois prochaine de revoir encore son scenarii en l'affinant plus encore.

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Suite donc de mon précédent message, sur le comportement de certains soumis. Après avoir fait une séance avec le jeune soumis décrit précédemment, l'extrème inverse se présente à moi. Déjà, il me téléphone au moins 10 fois en l'espace de deux jours, après avoir pris rendez-vous, pour des compléments d'informations anecdotiques. Le jour du rendez-vous, il me rappelle encore X fois, toujours sous des prétextes futiles, et je commence à m'énerver sérieusement sans même le connaitre. Le rendez-vous est pris pour 16h, puis 15h15. A 15h15, il ne me téléphone pas, et ayant un soumis que je connais bien qui voulait venir au même moment, je lui dit donc de venir de suite. A peine est-il arrivé que j'entend mon téléphone sonner sans arrêt. Je ne répond jamais pendant une séance, mais me doutant de ce que c'est, je profite que mon soumis se deshabille pour répondre brièvement. "Je suis en bas, je suis en retard car j'avais oublié le numéro de téléphone". Hé oui, mais trop tard, l'heure c'est l'heure, il est 15h30, il doit attendre. Je lui accorde exceptionnellement un rendez-vous à 17heures. Je commence ma séance, et là, j'entend de nouveau le téléphone sonner au moins une dizaine de fois.  Je ne répond pas, d'autant que je précise sur mon répondeur que si je ne peux être jointe, il faut me rappeler dans un moment. Un moment, ce n'est pas toutes les minutes, sombre abruti! Je termine ma séance, et pendant la douche de mon soumis, je vais contrôler mon portable: bingo!!!! C'est bien lui qui n'a cessé de m'appeler! A 17 heures, il me rappelle, et je le fais monter. Avant même de commencer quoi que ce soit avec lui, je lui hurle dessus en lui expliquant que cette façon de procéder est inacceptable, et que lui n'apprécierait surement pas que je passe mon temps au téléphone pendant sa séance. Il s'excuse mais celà ne me calme pas du tout. Par chance (pour moi!) il recherche uniquement la flagellation. Il aura donc droit à une forte fessée, puis, les fesses étant bien rouges, à du martinet, et là j'apprécie beaucoup le moment où il me demande pitié, puis cravache, demande de gràce, puis canne anglaise, demande de gràce encore. Je dois dire que pendant cette séance, j'ai été très sévère voire désagréable avec lui, mais en restant dans ce qu'il appréciait. En parlant un peu après la séance, il m'a avoué qu'en fait il avait fait exprès de téléphoner sans arrêt, pensant ainsi me mettre très en colère. Ma réponse fut brève: lorsque je suis vraiment en colère, le résultat est que même si le soumis a fait des kilomètres pour venir me voir, je refuse le rendez-vous et il repart sans même que nous ne nous soyons vu. Il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'un jeu, qu'il y a des règles, comme dans la vie, et que là, son comportement a été infantile. Il me dit avoir apprécié cette séance, mais moi je sais qu'elle aura pu être bien mieux, plus longue,mais je n'en avais pas du tout l'envie. Il m'a dit vouloir revenir, il aura intérêt à changer sa façon de faire, sinon je lui réserve une surprise qu'il ne risque pas d'oublier.

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