Il vient de temps en temps, uniquement et exclusivement pour passer l'après-midi attaché. Celà pourrait paraître simple, mais en fait non, ce genre de pratique demande beaucoup d'attention et d'imagination. En effet, sur l'espace de cinq heures, je vais le changer de position environ 6 fois. Il faut donc ne pas oublier d'alterner les poses, afin que le soumis puisse profiter pleinement de son bondage sans avoir la même douleur qui, en s'amplifiant, va occulter le plaisir. Ainsi, si je le bondage allongé sur le ventre, le prochain sera sur le dos, ou debout. De même, je vais toujours crescendo dans l'immobilisation. Il sait qu'au fil de l'après-midi, les poses vont être de plus en plus contraignantes, avec de plus en plus de rajouts. Ainsi hier, pour la dernière pose, je lui ai attaché les mains au plafond, bien étendu. Puis, le sexe avec une cordelette reliée au cou, bien étiré. Enfin, une corde passée autour des épaules, le genou droit plié le plus possible, et le pied attaché avec la corde qui pendait des épaules. Un baillon, des pinces aux seins reliées entre elles et rattachées au sexe, de façon à ce que quel que soit le mouvement qu'il veuille faire, il y ait toujours un point qui va tirer sur l'autre. Debout sur une seule jambe, tel le héron moyen, il va devoir tenir la posture pendant presque une heure. Ce fut au demeurant ce dernier bondage qu'il a le plus apprécié, regrettant même de ne pas avoir amené son appareil photo afin d'immortaliser l'instant. Pourtant, plus tôt dans la journée, il était resté une heure dans une autre pose très contraignante: sur les genoux, la tête sur le sol, les pieds attachés maintenus écartés, les mains passées au milieu des jambes, attachées elles aussi, le sexe reliés aux gros orteil. Après une heure passée ainsi, il lui a fallu plusieurs minutes avant de pouvoir se redresser. Le temps de la session écoulé, il me demande alors la chose suivante: de lui installer un gros ball-stretcher, avec dessus une cage de chasteté métallique, fermée avec un cadenas dont je garde bien sur la clé, et revenir dès demain (aujourd'hui), afin de subir de nouveau 5 heures de bondage. Il est résistant n'est-ce pas? Il me précise que cette fois, il pensera à son appareil photo, afin que je puisse faire un reportage précis sur les positions prises. Je vais donc devoir redoubler d'imagination, afin de trouver des positions de plus en plus contraignantes, différentes bien sur de celles de hier, comme quoi le bondage, ce n'est pas uniquement un bout de ficelle et deux noeuds comme beaucoup font!!!!

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